Rentabiliser un investissement immobilier

En prenant les bonnes décisions aux moments propices, l’investissement immobilier peut s’accompagner d’une rentabilité attractive. L’investissement locatif est LA solution avantageuse qui vient directement en pensée, mais elle n’est pas la seule manière d’optimiser son investissement. Vous venez d’investir dans l’immobilier ?

Vous souhaitez savoir quand votre achat sera rentable et comment en tirer un rendement optimal ? Voyons comment autofinancer son bien avec les meilleures techniques disponibles.

La rentabilité locative : faire les bons choix

L’investissement locatif est prisé par les investisseurs pour défiscaliser ou pour acquérir des biens immobiliers et se construire un patrimoine. Cependant, il est compliqué de déterminer la rentabilité d’un bien en raison de nombreux critères qui doivent être pris en compte pour le calcul.

Des articles, sur le site https://ream.lu/, avancent que la superficie, la localisation, la durée de l’endettement, le type de bien, ainsi que son état (ancien ou neuf), doivent être étudiés au préalable. En effet, ces critères font que certains types de biens peuvent être rentables en quelques années, tandis que d’autres peuvent prendre plus de temps.

En pratique, l’emplacement de votre bien détermine à 70% la rentabilité de l’investissement. La localisation est primordiale, dans la mesure où elle va directement impacter le ratio de la rentabilité locative. L’emplacement du bien, le quartier d’appartenance et l’état locatif de la ville méritent une analyse approfondie avant la décision d’achat.

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La rentabilité locative

Les calculs qui ne trompent pas

Trois différentes formules sont à disposition pour réaliser un devis estimatif sur le rendement locatif de votre achat. En premier lieu, il y a la rentabilité brute qui ne tient pas en compte les frais de TVA de notaire et du coût du crédit.

Pour ce faire, il vous suffit de diviser le loyer brut annuel par la valeur du bien immobilier, le tout multiplié par 100. Ceci étant afin d’obtenir le pourcentage de la rentabilité locative brute.

Ensuite, il y a la rentabilité locative nette de frais et de charge. Ce second cas inclut les frais d’entretien et la gestion du bien. Le calcul est simple : enlevez du loyer annuel l’ensemble des taxes foncières, frais de gestion et autre charge. Puis, divisez par la valeur du bien immobilier et multipliez le résultat par 100.

Enfin, il y a la rentabilité locative nette d’impôt qui se calcule en prenant compte des différents avantages fiscaux mis en place par l’État. Cette fois-ci, l’opération va dépendre du foyer fiscal en lien avec le bien à louer et des avantages fiscaux accordés.

Les avantages fiscaux

Récemment, ce dernier point pèse dans la balance lors de la prise de décision. Les avantages fiscaux ne sont pas à négliger. En plus des prêts à taux bonifiés ou nuls comme le PTZ, l’acquisition d’un bien immobilier ouvre le plus souvent droit à des avantages fiscaux.

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Ils offrent généralement des déductions d’impôt appréciables, bien que ces dispositifs changent selon, les décisions gouvernementales. Par ailleurs, les assurances font également partie des coûts sur lesquels on peut réaliser des économies, et donc augmenter la rentabilité du bien.

Cumulées sur toute la durée de l’emprunt, les économies réalisées sur le poste des assurances représentent une somme non négligeable.